Politique
Qu’est-ce qu’un traître en politique ?
L’anathème le plus couramment utilisé dans le monde politique est sans aucun doute celui de « traître ». Pourtant, cette accusation sert bien trop souvent à condamner de manière expéditive des décisions plus complexes, et qui sont généralement le résultat d’un conflit entre plusieurs formes de fidélité. Par ROMAIN MILLARD
Face à Macron, la droite touchée mais pas (encore) coulée
Depuis le 23 avril, la droite française est déchirée sur l’attitude à adopter face à Emmanuel Macron. Après les élections législatives des 11 et 18 juin, trois scénarios seront possibles : la cohabitation, la coalition, ou l’opposition. Par ROMAIN MILLARD
Qui fait le jeu du Front national ?
Culpabiliser ceux qui s’abstiennent au second tour n’a aucun sens : il s’agit de refuser toute légitimité au prochain président. Par l’ÉNERVE DU COIN
Emmanuel Macron : « le courage de la nuance »
Les nuances de l’ancien ministre de l’Économie sont la marque d’un constat sérieux et réaliste. Ce qui ne l’empêche pas de tenir des positions clivantes sur des sujets majeurs. Par VINCENT SEZNEC
Marine Le Pen : une certaine idée de la France
Le vote pour Marine Le Pen est une révolte contre ces élites qui ont trop longtemps failli. Mais le pire serait encore que les autres décident à votre place. Par MANON BOUQUIN
François Fillon : le moins pire d’entre eux
Autant Alain Juppé m’avait inspiré un vote d’adhésion lors de la primaire de la droite, autant le vote Fillon sera un vote par défaut, voire par dépit. Ce sera aussi un vote de raison, motivé par la volonté de faire barrage au duo infernal Le Pen-Mélenchon, et de favoriser l’émergence d’une majorité parlementaire à peu près cohérente. Par ROMAIN MILLARD
Jean-Luc Mélenchon : l’homme d’État
Pourquoi je voterai dimanche, avec calme et raison, pour Jean-Luc Mélenchon. Par PAUL FRANÇOIS
Pourquoi la présidentielle n’est pas faite pour débattre
Si l’on parle davantage des charmes et des vices personnels des candidats à l’élection présidentielle plutôt que de leurs projets pour redresser la France, c’est parce que ce scrutin n’est pas conçu pour accueillir des débats d’idées. Par ROMAIN MILLARD